[RP] Le commencement

( Où on démarre le RP, où vous exposez vos personnages, où vous donnez les informations importantes pouvant être connues par les autres joueurs. )

Fichue caillasse de mes deux...

C'est sur ce ton au naturel empreint de sympathie et de compassion que le condottiere Wendrin of Karraghan se fait la remarque qu'il faudrait peut être un jour demander au conseil municipal de refaire cette fichue route...En effet, le nombre de nids-de-poule et d'ornières dépassait les 3 chiffres, sur cette portion de la route qui menait Daerskinaar à Djalabaom, la ville voisine.

L'homme, le cheveu noir, court, un oeil borgne et des cicatrices montrant qu'il n'a rien à envier à personne au combat, ainsi qu'une armure montrant qu'il est loin du bouseux de campagne, avance à cheval, devant la petite troupe formée en hâte par le conseil municipal. Ils avancent péniblement, sa monture ahanant et les autres pestant, alors qu'il est le seul à cheval, donc à peu près épargné par cette satanée route. Il mène un groupe d'une dizaine d'aventuriers décidés, et il compte avancer jusqu'à l'endroit le plus dangereux de la région: l'ancien temple de Pélor, sur la crête de Varamont, en plein milieu d'un marécage gluant et nauséabond qui, comme une erreur géologique, se situe à pas loin de 1700 mètres d'altitude. A cet endroit, la montagne forme une cuvette peu profonde où les eaux stagnantes depuis des centaines d'années ont, peut être un jour, la chance de pouvoir descendre par la cascade des Warechs, seul moyen de sortie pour tout élément aqueux de ce plateau.

La fin du temple s'était faite il y avait maintenant 25 ans, dans des circonstances obscures auxquelles le condottiere, chargé des troupes de la ville de Daerskinaar, et promu pour l'occasion sauveteur en chef, se passerait bien de penser.

Une équipe de bras cassés...Voilà la seule chose que le conseil municipal avait pu rassembler pour aller sauver les jeunes hommes aventureux qui avaient voulus partir explorer les ruines du temple...Il pestait, maugréait, et espérait qu'une perle rare se planquerait dans toute cette merdasse qui le ceignait de toute part...Il sentait le nullard, le débile. il sentait l'inutile...Mais baste! Le lotus ne pousse t'il pas dans la vase la plus abjecte? Avec un peu de chance, il y aurait bien quelqu'un de compétent pour l'assister...

Sa monture, Endalemon, avançant au pas, il se souvint de ce fameux mâtin où Hector, berger près du petit bourg de Tulbeg, s'était pointé en ville pour hurler à la mort qu'il avait repêché 3 corps en allant faire paître ses bêtes du côté de Varamont. En effet, l'eau ne stagnait que sur 50 à 60 centimètres de hauteur, rendant toute la cuvette pratiquable à pied. Mais il ne fallait pas avoir peur des mauvaises surprises...Des monstres se terraient parfois, dans le coin. Et depuis que les prêtres ne s'occupaient plus de la sécurisation du site, l'unique pont de bois s'était écroulé à plusieurs endroits, forçant les téméraires à faire la traversée à la baille.

il réfléchissait encore à comment ils traverseraient, et surtout comment ils sauveraient la douzaine d'imprudents, quand ils entamèrent la montée jusqu'à la crête de Varamont...

Obsorn Vertebouteille trainait derrière, suivant difficilement la cadence avec ces courtes jambes... engagez vous qu'ils disaient! enfin bon...quand on a besoin d'argent.....

bref Obsorn suivait le groupe de bras cassés en direction d'un endroit inconnu pour sauver des inconnus.... il sortit son luth et, après l'avoir accordé, ce mit à chanter une vieille chason naine que son oncle lui avait apprise.....

" de l'or, des armes, de la bière nom de dieu...va falloir crever tout les trocks à verneux (hrp:g pas bien compris la dsl)... du bois des haches de la poix et du feu....libérons nos mines des vermines et des vieux..." trucs qui trainent mais bon, comme on à pas la place de le mettre dans la chanson, on le rajoute toujours à la fin....

(Pas d'heure indiquée, la compagnie part de la ville, les départs se font plutot le matin, je dirais donc que c'est l'aurore.)

La fraîcheure de la nuit n'avait pas encore été dissipée par les rayons du soleil matinal. Autour de Huerney les gens reniflait et serraient un peu plus leur habits pour se garder de l'étreinte du froid. Lui il avait défait les premières lannières de son long manteau et, tout en gardant sa capuche sur sa tête, profitait de l'air frai s'engouffrant par son col jusque sous sa tunique. Autour de lui marchaient, boitaient ... évoluaient toutes sortes de personnages. Parfois pitoresques, d'autre fois mistérieux, la nature de cette équipe de sauvetage laissait Huerney perplexe quand aux réelles chances de réussites de l'opération.

*Une sacrée bande de paumé ... *

Dérrière lui un son de luth rapidement suivit d'un chant montèrent. Cela éveilla en Huerney le souvenir de la Taverne, ou son père y engagait parfois des troubadours pour égayer les soirées. C'était la belle époque, il était alors fils de tavernier ...

*... et les elfes ne se fesaient pas assassiner dans la foret ...*

L'atmosphère était pourtant bonne, les oiseau et les bardes halfling chantaient, l'air du matin ... mais non, le contenu de la bourse de Huerney tendait trop vers 0 ces derniers temps, et il avait un mauvais présentiment à propos du boulot qu'il avait accepté, c'était trop beau pour être vrai.

(HRP: /// *...* => pensé ; -... ou "..." ==> parlé\\\ ceci est un message test pour voir si ça convient au MJ)

Ker-ô-Thain marchait sans joies aucunes parmis les grandes gens qui l'entouraient, ils avaient des mines encore plus minables que le groupe avec lequel il était arrivé à la ville humaine : ils avaient des mulets pour porter leurs affaires, au moins, eux....

Mais bon, il falait bien gagner de quoi acheter du métal, maintenant qu'il n'avait plus accès aux forges de Berentorn.... sinon, il ne pourrait jamais réaliser son projet.... ha, son projet....

Tout en serrant contre lui sa précieuse arquebuse, Ker-Ô-Thain continua sa marche silencieuse rêvant à ce projet qui occupait toutes ses pensées, son capuchon brun rabatu sur les yeux et sa barbe blonde frisonant dans le froid du matin.....

( En effet, pas d'heure indiquée. Vous êtes en route depuis l'aurore et ça fait quelques heures que vous marchez, mais ce n'est pas réellement important. Le plus important est la mise en situation. Tout est impec, continuons! )

Ils commençaient à gravir les pentes escarpées de la crête pentue qui mènerait jusqu'à leur but. Ils étaient une petite douzaine, une dizaine d'aventuriers triés selon leur rapidité, et le condottiere, secondé de son sergent d'arme Brise-noix qui le secondait comme son ombre.

Le cheval est en tête, et Brise-noix un peu en retrait, hache sur l'épaule. Il regarde fréquemment en arrière et se dit que, décidément, cette fichue rescousse ne sera pas une partie de plaisir...Des provisions avaient été distribuées pour 4 jours( à noter, merci...) et des munitions. La plupart était déjà équipés, ce qui avait d'ailleurs généré leur choix par le conseil municipal et, surtout, pour le condottiere et le connétable: des aventuriers équipés ne coûtent pas chers à équiper, au moins...

Le soleil commençait à darder de ses timides rayons orangés la plaine qu'ils quittaient. Le brouillard recouvrait tout et, même alors qu'ils grimpaient et qu'ils avaient passé la barre des mille mètres d'altitude, la brume persistante continuait à les environner, s'éclaircissant tout de même et commençant à leur permettre de se repérer. Les pentes de la sente caillouteuse qu'ils empruntaient étaient boisées de sapins et de frênes, ainsi que quelques bouleaux qui ajoutaient une petite note blanchâtre dans la sombre teinte des résineux qui donnaient l'impression que les montagnes ressemblaient à des dos de géants poilus et ensommeillés.

Aucune personne du groupe n'a de mal à avancer, hormis les petites gens, qui peinent dans les cailloux. Se retournant en arrière, Brise-noix, la cervelle aussi vide que le fruit de son nom, observait le groupe, tâchant d'empêcher ses yeux de rouler maladroitement dans leurs orbites, l'un vers le haut, l'autre vers le bas. Cela lui attirait en permanence les moqueries de la ville, où l'on disait volontiers qu'il était la pire grenouille de bénitier que l'on ait jamais vu: un oeil tourné vers le soleil et Pélor pour contempler Sa face, et l'autre tourné vers le sol en signe de pénitence. Une haleine empestant l'ail et une rance odeur de sueur vinaigrée sourdait de ses aisselles. Hormis ce problème d'yeux, il avait la main sûre, oh oui, pour tout ce qui consistait à trancher des cols...

3 ou 4 hommes ressemblant plus à des paysans qu'à des guerriers ouvraient la marche, précédés d'un demi-orque massif à l'aspect brutal qu'il n'avait aucune envie de provoquer en combat singulier. L'animal, aussi crétin et stupide soit-il, avait des muscles qui faisaient facilement le double de sa tête: une belle bête de foire, c'était son avis. Il serait utile pour récupérer les flèches perdues, et jouer la brute, avec sa grande hache...

Puis venaient deux autres hommes, l'un encapuchonné et s'appuyant sur un bâton, l'autre armuré et silencieux, un symbole familier du casse-noix pendant à sa taille. L'encapuchonné dégageait une sorte de froid pesant qui sourdait de lui comme une brume de l'eau laissée sur le feu, et personne ne l'approchait de trop près. L'on aurait dit un cube de glace, mais semblant ne jamais éprouver le froid. Seul, l'armuré arrivait à supporter sa compagnie avec la plus grande facilité. De son dos dépassait un espadon énorme, à la poignée recouverte de cuir.

'Au moins, t'en as deux qui sauront donner du bras le cas échéant qu'il se disait, le Brise-noix. Et même si les autres, armés de façon assez superficielle, ne paraissaient pas en imposer, il espérait que ces abrutis qui étaient partis piller ce fichu temple en ruine n'étaient que tombés dans une mâle crevasse ou qu'ils avaient été coincés au milieu du petit lac du plateau par un monstre quelconque. Si c'était le cas, ils le tueraient et retourneraient chez eux. Mais s'il fallait s'aventurer dans le temple, et aller les déloger...Il était réputé maudit, ce failli temple. Personnellement, il ne l'aurait jamais approché à moins de 3 lieues, s'il n'en avait pas été obligé. Et baste! La prime était alléchante...

Il ricana quelque peu en voyant le nain et le semi-homme peiner à avancer parmi les cailloux, un peu en retrait. Ce tonneau ambulant plein de bière et barbu tenait fermement une sorte d'arbalète étrange contre lui, de celles que les nains utilisent avec leur science de la poudre. Brise-noix espérait qu'il ne savait pas faire que la tenir...

Quand à l'autre, encore plus inutile: un luth aux mains. UN LUTH! Comme s'ils avaient besoin de musique par ici...
Et il chantait, le crétin! Alors qu'on atteignait les 1100 mètres d'altitude, lui, il chante! L'a pas peur pour son souffle, l'animal...

C'était le dernier membre du groupe qui l'inquiétait: il n'était jamais sur le chemin, toujours dans la forêt, arc tendu, fleche encochée. S'il ne savait pas qu'il adorait le pognon, Brise-noix aurait presque eu peur d'une flèche dans le dos...

Mais, voyant que le condottiere of Karraghan ne l'attendait pas, il se hissa à nouveau plus haut, reprenant son ascension, la main sur les genoux pour appuyer son mouvement, soufflant comme un boeuf sous la charrue, les joues rougeaudes et le teint maladif...

Zharg etais la, dans le groupe suivant Wendrin of Karraghan, depassant tout le monde d'une tête... ou plus ! Il étais heureux de faire cette promenade matinale, hache sur l'épaule.
On lui avait dit qu'on lui proposait de rejoindre un groupe pour une mission de secours et Zharg était fière d'accepter, car Zharg, il veut que les gens ils aiment bien et soit gentil avec Zharg. Aujourd'hui, Zharg pourra vraiment prouver qu'il est pas un méchant Demi-Orque.
Alors il était la, entouré de gens qu'il connaissait plus ou moin.
Quand le soleil commença a se montrer Zharg étais content car sa Hache brillait bien, il l'avait bien laver pour qu'elle soit propre devant les ennemis, car Zharg il est polie, il ne tue jamais avec une arme sale !
Mais Zharg eu une grande peur a un moment, il entendit un son bizarre dans sa tête. Il ne comprenais pas d'ou venais se son, qui cachais le pas de la troupe et le chant des oiseaux. Il regarda un peu autour de lui, et vit un petit être avec un drole de bout de bois avec des fils. C'étais ce qui faisait le son ! Zharg regarda avec de gros yeux d'étonnement l'objet et son possesseur, la bouche entrouverte. Il continuait a avancer, tout en regardant derrière lui le musicien...

( 1 ere personne!!)

La température baissait à mesure que l'on avançait et j'apercevait déja de la neige entre les arbres au bord de la "route"....
Je ferme les moults boutons mon manteau, ce qui ne change pas grand chose en fin de compte. Je m'aperçoit bien vite qu'un drôle de personnage regardait mon luth avec des yeux ronds. C'est un bonhomme vraiment étrange, tout du moins pour moi qui n'avait jamais vu personne si grande de ma vie, même si celle si est tout juste entammée (30 années sont bien peu pour un halfelin). Sa carrure imposante et son énorme hache imposaient le respect, malgré son air un peu idiot. Il renifle bruyamment. Prenant mon courage à deux mains et pensant qu'il vaudrait mieux l'avoir pour ami que le contraire je lui demande:

" c'est mon luth ou ma petite taille qui vous étonne ainsi?"

" Luth ? Luth ? ... GrmlGrmlGrml ! LUTTE ! Moi bien aimé armes de lutte qui faire du bruit ! "

Zharg sortit l'arc court qui trainait dans son dos. Et commença a jouer avec la corde. Son visage joyeux devint vite mécontent.

" Ca pas marché ! Pas faire Jolie Bruit ! Grrrrrr "

" si tu veux je te prette mon luth! L.U.T.H....."

prette le luth à zargh, un peu soucieux comme même

Cette conversation me sort de ma rêverie ...

"Laisse tomber, Halfelin : c'est un demi orque, tu n'en tireras rien : c'est à peine mieux qu'un gobelin domestiqué...."

je crache au sol pour apuyer mes dires....

Qu'est ce que tu fais dans ce groupe, Halfelin ? T'as pas l'air d'avoir la trempe pour ce genre de boulot....

La pente commençait à se faire plus rude, mais ce n'était pas ça qui allait faire peur à un nain... je continue mon ascention, en tâchant de ne point trop me faire distancer par la troupe, en surveillant du coin de l'oeil le grand niais de demi-orque...

Zharg s'appretais a prendre le Luth quand un nain lui cracha au pied.

Zharg eu un long temps de réaction et :

" Whaaaaaaarg ! Méchant Nain ! "

Et il montra les dents...

Je continue ma marche, mine de rien : à rien ne sert d'exiter plus la grosse bête : elle démontre d'elle même sa stupidité....

Je lache mon arquebuse d'une main, et je la pose discrètement sur la poignée de mon épée courte : il était peut être assez stupide pour attaquer....

Zharg voit partir le nain et reste a regarde a l'emplacement ou il était, un filet de bave lui coulant sur la joue.
Puis il reprend la route dans le groupe en regardant les oiseaux ayant deja oublier pourquoi il s'étais faché.

"en fait j'étais bourré quand on m'a enrôlé..... je chantait à la taverne..... et puis à un moment une mouche c'est posée sur le bras du tavernier, j'ai tiré une flèche et l'ai coupé en deux, éraflant juste le bras de roger (le tavernier.....) un coup de pot, enfin bon...... maintenant qu'on y est......."

"Ouais, ben, vaut mieux que tu fasses un peu attention à toi : Si tu régis comme ça face à l'adversaire, t'auras plus l'occasion de touche du luth...."

Ne faisant même pas sembland de vouloir continuer la conversation, je m'arrête, m'étire un bon coup et m'enfonce au milieu des buissons sur le côté de la route...

"J'vais me liberer un coup, m'attendez pas !"

" Moi venir avec toi ... moi avoir besoin de ... "

La peau verte de Zharg rougit... ( enfin un truc vert qui rougit ça fais quoi ? )

" de... ... "

Et il suivit le nain dans les buissons...

Toi, tu vas pisser ailleur, j'ai pas besoin de toi !

Non mais, il me veut quoi, le gros machin ....

Je m'écarte un peu, je me met dans un buisson , et je commence mon affaire.
Je regarde discretement vers le nain.

" Petite taille... ... "

Et je lui fais un grand sourire.

"Tant mieux pour toi, mon brave, ça t'en fera moins à essuyer !"

"Quant à moi, c'est plutôt une grosse envie...."

Je m'écarte encore de quelques mètres, dénoue mes braies, et achève un sapin rachitique en urinant à son pied...

Je ratrappe le groupe, en relevant mon pantalon !

" Dite les gens ! Quand on mange ? "

La conversation allait entre le barde halfling, un Grand guerrier qui semblait un peu diminué, un nain et un humain portant une épée à demain relativement énorme dans son dos. Le nain s'excusa et s'écarta de la troupe pour aller se soulager, suivit par le demi-orc qu'il tenta de congédier. C'est à ce moment que Huerney se rendit compte que, lui aussi, avait besoin de s'arrèter pour les mêmes raisons que l'humain.

Nerph s'éclaircit la voix et dit à la cantonade:

"-je vais m'écarter du chemin pour les mêmes raisons que Sir. Nain ... n'avancez pas trop ... "

Ne sachant trop quoi ajouter, il s'éclipsa vers un endroit diamétralement opposé à celui vers lequel s'était dirigé le nain afin de ne pas le gèner.

Le groupe avançait maintenant devant lui et, avançant dans la neige, il trouva une dépression propice à l'éxecution de son besoin qui devenait pressant.

Le condottiere se recule alors, légèrement énervé par l'activité de la queue du groupe:

Brise-noix, c'est quoi encore ce boxon? On a pas toute la journée, foutrediable!

Le susnommé, tordant son cou dans la direction de l'activité, lui répond alors:

Il semblerait que plusieurs abrutis ont oubliés de passer aux latrines avant de partir...'sont dans les buissons, à main droite, en train de soulager la nature, chef.

Il se retourne et, alors, lance un regard levant les yeux au ciel( ) du genre " C'est la vie, mon pauv' m'sieur, faut etre indulgent..." Le condottiere, avec un reniflement de narine de mépris, lance alors, laconique:

Tu leur dis de se presser. On a pas toute la journée, et m'est avis qu'on va déjà en passer plusieurs sur ce coup...Autant qu'ils aient l'esprit clair et la tripaille vide, mais qu'ils se BOUGENT! Au trot, Brise-noix.

Et au besoin, tu les fais avancer à coup d'chignole, si le besoin s'en faisait sentir...Faudrait qu'on fasse halte au zénith du soleil là-haut, pour être sûr qu'il n'y aura pas de brume sur le plateau! Dépêche toi, et repars avec le groupe retardataire. Je pars devant, avec les autres.

Et ceci étant dit, il cravache sa monture, et encourage les présents non-indisposés à le suivre. Parmi eux, les humains qui accompagnent. Alors ils continuent leur progression, laissant Brise-Noix avec les retardataires, en se demandant si, lui aussi, il ne devrait pas faire halte et délester un peu...

( Vous me mettez dans votre prochain post si vous suivez le condottiere of Karraghan, ou si vous restez avec Brise-Noix. )

L'orque arrivait en trotinant pour suivre le condotière quand il se rendit compte qu'il avait oublier sa hache dans le buisson.

Il retourna la chercher et resta en fin de compte avec Brise-Noix.

Je sors des buissons, analyse rapidement la situation, puis reprend la marche imédiatement, suivant de loin le condottiere : il ne sert à rien de perdre son temps... plus vite arrivé, plus vite j'aurrais mon métal....

Et comme ça, je laisse les deux brutes derières....

En passant près du Halfelin indécis, je lui lance :

"Allez, viens, petit, sert à rien de perdre son temps ici !"
"Et joue-nous donc un petit truc vivifiant... pour accompagner la marche...."

Huerney remonta rapidement dans la neige jusque sur le chemin. Le condotière parlait alors de faire deux groupes à cause des retardataires. Les groupes commencèrent à se former.

*hmmm ... bon, ne nous attirons pas plus d'ennuis que ça ... faudrait pas s'faire remarquer de trop ...*

Huerney Rejoignit le groupe de tête en avançant dérrière le barde et le Nain.